SI CELA VOUS INTÉRESSE ….
Quelques livres :
Clot Yves et Lhuillier Dominique (2010) Travail et santé, ERES
Courcy François, Savoie André et Brunet Luc (2004), Violences au travail, Montréal, Presses Universitaires de Montréal,
Dejours, Christophe (1980) Travail et usure mentale, Paris, Bayard, éd. 2008
Dejours, Christophe, (1998) Souffrance en France, Paris, éd. du Seuil, Points 2009
Dejours, Bègue (2009), Suicide au travail : que faire ? Paris, PUF, éd. 2012.
Dejours, Christophe, (2010) Observations cliniques en psychopathologie du travail, Paris, PUF.
Dejours, Gernet, (2012) Psychopathologie du travail, Ed. Elsevier, Masson, Paris 2012
Enriquez Eugène (1992) L’organisation en analyse, Paris, PUF, éd. 1997
Enriquez (2007) Clinique du pouvoir, Paris, ERES, éd. 2008
Guinchard Roland (2011), Psychanalyse du lien au travail, Elsevier Masson
Lacan Jacques (1970), L’envers de la psychanalyse, Séminaire XVII, Paris, Seuil 1991
Laplanche et Pontalis (1967) Vocabulaire de la psychanalyse, PUF, Paris,éd.1994
McDougall, Joyce (1989), Théâtre du corps, Folio essais Gallimard, éd. 2008
Molinier Pascale (2006): les enjeux psychiques du travail, Paris, Payot, éd. 2008
Pezé Marie : (2008) Ils ne mourraient pas tous mais tous étaient frappés, Champs actuels, Flammarion , éd. 2010
Ricoeur, Paul,(1990) Soi-même comme un autre, éd. du Seuil, Paris.
Ruszniewski Martine, (1999) le groupe de parole à l’hôpital, Paris, Dunod
Commentaires sur la violence au travail inspirés par un ouvrage collectif, publié aux Presses de L’université de Montréal, ouvrage collectif coordonné par : F. Courcy, A. Savoie et L. Brunet
La problématique de la violence au travail est complexe. Ses causes sont multiples et les conséquences alarmantes.
La violence au travail est engendrée par des facteurs individuels et une organisation collective. La réponse doit être, elle aussi, individuelle, collective et organisationnelle. Lutter contre la violence au travail est une excellente opportunité pour apporter des changements positifs dans la culture de l’entreprise.
L’apaisement de la violence au travail requiert des mesures préventives et curatives
De manière préventive : initiée par la Direction avec le support de la Direction RH, la prévention de la violence est un programme transversal à l’entreprise. Comme tout objectif, il requiert méthode, engagement et constance dans l’action. Définir les zones de risques, les points de force et de fragilité, repérer les signaux faibles, les facteurs environnementaux, de telles actions concertées contribuent à la réduction des risques.
En curatif : lorsque la violence a explosé, il faut la traiter, dans son contexte. La violence s’exprime par des mots, des actes, des émotions, des facteurs personnels et interpersonnels : c’est donc dans ces deux champs qu’elle doit être accompagnée.